Bulletin n°168 mai 2016

AVANT-PROPOS
Vouloir évoquer les événements survenus pendant les guerres de religion dans le pays de Buch relève un peu de la gageure. De fait, nulle bataille rangée, nul massacre comme d’autres régions de France en ont connus, ne sont à signaler pendant la période de plus de trente ans au cours de laquelle catholiques et protestants s’entre-déchirent. C’est sans doute cette absence d’événements marquants qui a fait dire à certains historiens locaux qu’il ne s’est rien passé et que le pays de Buch est resté à l’écart des luttes sanglantes qui ravageaient le reste de la France. Par ailleurs, L’action des bandes de soldats qui s’abattent sur le pays de Buch, troupes royales et partis de huguenots ou de ligueurs, est moins guidée par des considérations d’ordre confessionnel que par la volonté de se constituer un trésor de guerre indispensable à la poursuite de leurs agissements. De ce point de vue, leur action ne diffère pas foncièrement de celle à laquelle pourraient se livrer des bandes de brigands organisées et n’est pas perçue autrement par la population. L’isolement, tout relatif, du pays de Buch et son faible poids économique ont sans doute contribué également à forger cette conviction qu’il n’était pas un enjeu intéressant dans le conflit et qu’aucune des factions n’avait des raisons de vouloir s’en emparer. Cette opinion n’est d’ailleurs pas totalement infondée dans la mesure où les parties en présence, à l’exception des troupes royales, ne cherchent pas à se rendre maîtresses du terrain ou à se saisir de gages territoriaux mais se contentent de mener des incursions, parfois d’assez grande ampleur mais toujours limitées dans le temps, pour se procurer du butin ou faire des prisonniers.
De plus, une partie du pays de Buch est épargnée par la guerre. Certes, ce n’est pas, loin s’en faut, la partie la plus peuplée ni la plus riche mais il se peut, néanmoins, que la relative quiétude dont toute la partie occidentale et septentrionale bénéficie, soit aussi une explication au peu d’intérêt que cette période a suscité et, par voie de conséquence, à la méconnaissance dont elle est entourée et à l’idée fausse que le pays de Buch est resté un îlot de paix au milieu d’une France livrée au meurtre et au pillage. De fait, les régions qui ont le plus à souffrir des opérations militaires se situent dans la partie est : basse vallée de la Leyre et bordure sud du havre d’Arcasson. Il est fort peu probable qu’aucun des ennemis que les autorités provinciales ont à combattre, protestants, d’abord, ligueurs, ensuite, se soient aventurés très au-delà d’une ligne La Teste de Buch – Biganos pour des raisons qui découlent, à la fois, de leurs buts de guerre et de la tactique qu’ils emploient. Installés sur les marges du pays de Buch, dans des positions fortes, ils ne les abandonnent qu’à l’occasion de raids éclair, pour se réapprovisionner et se procurer l’argent nécessaire à la poursuite de la guerre. Ils se répandent alors dans les campagnes proches qu’ils mettent en coupe réglée mais, comme leurs besoins sont permanents, ils sont obligés de chercher leur provende de plus en plus loin, leurs précédentes victimes n’ayant plus rien à se faire voler ou ayant caché ce qui ne leur a pas encore été dérobé. La nécessité de se procurer des vivres et des subsides est donc leur principal souci mais elle ne les fait pas, pour autant, négliger leur sécurité. Peu nombreuses, ces bandes ne peuvent pas trop s’éloigner de leurs repaires et doivent observer la plus grande rapidité d’exécution pour interdire à leurs adversaires de se ressaisir. C’est pourquoi, leurs raids se limitent à la moitié orientale du pays de Buch, l’autre moitié étant trop éloignée, moins riche et, par conséquent, plus risquée à atteindre et moins intéressante.
Que tout l’ouest du pays de Buch n’ait pas à subir les exactions des routiers ne signifie pas, pour autant, qu’il soit préservé du développement du protestantisme en tant que doctrine. L’influence de François de Castetja, seigneur de Mistres, petite maison noble située entre Le Porge et Lacanau, n’est sans doute pas négligeable. Allié et parents des Castetja, seigneurs de Ruat, eux-mêmes protestants, il combat dans les rangs de ce parti et s’y illustre tristement, au point d’être condamné à mort par le parlement de Bordeaux et exécuté. Son exemple a pu avoir un effet d’entraînement mais, faute de sources disponibles, la percée du protestantisme dans et autour de son fief est impossible à évaluer. De la même manière, il n’est pas exclu que les Durfort, seigneurs de Blanquefort et, à ce titre, seigneurs d’Arès, aient contribué à la pénétration des idées protestantes dans l’esprit de leurs censitaires habitant ce village. Sans doute, eux-mêmes n’y viennent-ils jamais et sont-ils accaparés par les combats qu’ils mènent sur d’autres fronts mais leurs officiers ont pu jouer ce rôle sur place. Là encore, l’absence de documents accessibles laisse la question sans réponse.
En revanche, au sud du havre d’Arcasson, l’imprégnation des esprits par les idées protestantes est manifeste, même si elle se révèle peu profonde et, somme toute, peu durable. Les progrès de la nouvelle religion peuvent être assez facilement mesurés. Ouverte sur la mer, dotée d’une flottille importante qui lui sert, à la fois, à la pêche et au cabotage, cette partie du pays de Buch entretient depuis très longtemps des relations commerciales avec les principaux ports de la côte atlantique et, notamment avec La Rochelle et les autres ports des côtes de Saintonge dont les populations sont majoritairement acquises au protestantisme. Ces contacts permanents favorisent immanquablement un rapprochement des idées. Par ailleurs, des circonstances locales peuvent aussi expliquer, sinon l’essor du protestantisme, du moins l’éclosion d’un catholicisme repensé et centré davantage sur la foi intérieure que sur des manifestations ostentatoires et de pure forme. Les attributions d’un Gaston de Castetja, seigneur de Ruat dans le captalat de Buch et la présence d’officiers protestants dans la seigneurie de Certes ne sont sans doute pas étrangères à ces nouvelles orientations.
Le pays de Buch est donc confronté au protestantisme, aussi bien sous la forme de l’offensive doctrinale qu’il conduit que sous la forme des combats que mènent ses partisans ou que ses adversaires mènent contre lui. C’est ce double aspect que ce texte va s’efforcer de mettre en lumière. Le sujet n’ayant encore jamais été défriché, il a fallu, pour tenter de le cerner, se livrer à de longues mais fructueuses recherches dans les dépôts d’archives. Seul, Pierre Labat, dans un vieux numéro du bulletin de la société historique, avait retranscrit un arrêt du parlement de Bordeaux relatif à la remise en vigueur du service de guet dans la seigneurie de Certes sous la pression des événements. Tout était donc à découvrir. Pour cela, les minutiers des notaires ont apporté une aide précieuse. Le dépouillement systématique des testaments, dans les paroisses de Saint Vincent de La Teste et de Saint Maurice de Gujan, a permis notamment d’apprécier en quoi les idées protestantes avaient pu modifier les comportements devant la perspective de la mort proche. Des renseignements sur les opérations militaires y ont également été puisés ainsi que des données sur les conséquences économiques, démographiques, humaines de la guerre. Ces informations ont été complétées grâce aux registres des arrêts du parlement de Bordeaux, très bien tenus, qui permettent de replacer les événements et décisions prises localement dans un contexte plus général.
Ce sont les minutiers des notaires Laville, de La Teste, Brun, de Gujan et Ducau, de Salles qui ont fourni l’essentiel de la matière utilisée. Il est regrettable, de ce point de vue, que les papiers du notaire Ducau ne soient consultables qu’en partie en raison de leur état et, surtout, que ceux du notaire Dubusquet, d’Audenge soient totalement interdits à la communication pour des raisons similaires. C’est d’autant plus regrettable que, mis à part ces minutiers, aucun document écrit ne permet de retracer l’histoire du pays de Buch à cette époque. Un programme de numérisation des archives fragiles a bien été entrepris par le service des archives départementales mais il est fort à craindre que, compte tenu des délais nécessaires, ces documents ne restent longtemps dans leurs cartons et ne soient même jamais accessibles aux historiens. Des documents communiqués par d’autres chercheurs, Mme Béatrice Moyaert et M. Alain Charriaut, ont aussi été utilisés. Que ces contributeurs bénévoles veuillent bien trouver ici l’expression de ma profonde gratitude.

Au sommaire

INTRODUCTION    7

Première partie : UN ANCRAGE CATHOLIQUE RÉAFFIRMÉ MAIS
EN PHASE D’ADAPTATION    9

Chapitre 1 : Des élites seigneuriales aux croyances diverses    11
Le captal de Buch, champion de la cause catholique et royale    11
Le seigneur d’Arès, farouche huguenot         15
Le seigneur « consort » de Certes, chef de la Sainte Ligue    17

Chapitre 2 : Des classes intermédiaires sensibles à la nouvelle doctrine    21
Le capitaine protestant d’un grand seigneur catholique    21
Des officiers seigneuriaux adeptes des deux religions    24
Des officiers de justice de même sensibilité religieuse dans le captalat    25
Diversité d’opinion parmi les officiers de Certes et les hommes
de loi subalternes        27
Remplacement du capitaine protestant par des catholiques    27
Interdiction à un protestant d’exercer la justice    30
Des relations commerciales avec des régions protestantes sans
grande incidence sur le plan religieux        32
Forte présence des marchands rochelais et saintongeais    32
Des marchands inébranlables dans leur foi    35

Chapitre 3 : Un clergé paroissial conformiste et peu préparé à la controverse religieuse    37
Un recrutement péniblement et partiellement assuré    37
La dîme : un système de rémunération perverti    38
Quelques figures de prêtres        40
Des prêtres plus attentifs aux formes qu’à l’essence même de la foi    43
Cazaux : une paroisse mal desservie et confrontée à la Réforme    45

Chapitre 4 : Le peuple fidèle à la foi de ses pères mais en proie au doute    49
Vigueur mais évolution de la foi traditionnelle    49
Déclin du culte marial et de la croyance au purgatoire    53
Persistance de signes identitaires forts chez les catholiques    56
Dynamisme des fabriques paroissiales     56
Maintien du culte des reliques        57

Deuxième partie : UNE DÉFENSE DISPARATE ET MAL COORDONNÉE    59

Chapitre 5 : Renforcement de la défense à l’initiative des autorités seigneuriales    61
Obsolescence des vieilles forteresses médiévales    61
Organisation de la défense par les autorités seigneuriales    65
Pénurie en personnel compétent et religieusement sûr    65
Remise en vigueur difficile du service de guet    68

Chapitre 6 : Mise en sûreté du pays de Buch par les autorités provinciales    71
Honorat de Savoie, à la pointe du combat contre les huguenots    71
Intervention du maréchal de Matignon        74

Chapitre 7 : La population prend en main son destin    77
La Teste définit un code de conduite repris par les autres communautés d’habitants    77
Le rôle des fabriques paroissiales        80
Vers une individualisation de la prise en compte de la menace     82

Troisième partie : LES ÉVÉNEMENTS    87

Chapitre 8 : La lutte contre les protestants        89
Le captalat en proie au chaos        89
Razzias sur les franges du pays de Buch        90
Incursion de grande envergure des protestants     93
Recul des violences        95

Chapitre 9 :   La lutte contre les ligueurs        97
Présence importante des troupes royales        97
Révolte des habitants de Mios         99
Les ligueurs maîtres du terrain !        101
La Teste doit payer tribut        101
Maraudages dans le pays de Buch        103

Chapitre 10 : Bilan de la guerre        107
Le poids du protestantisme, abjurations à La Teste    107
Coût humain et matériel de la guerre        109
Croissance de la population au point mort ?    109
Recul économique et régression du niveau de vie    110
Appauvrissement généralisé de la population     113

Index des noms cités

Albret (Henri d’)   p. 91
Albret (Jeanne d’), reine de Navarre   p. 7, 11, 13, 14, 46
Andeirs (Jean)   p. 121
Angleterre (Élisabeth 1ère, reine d’)   p. 128
Arnauld (Jean)   p. 120
Arnoul (Jacques)   p. 41, 121
Astarac (Marthe d’)    p. 26
B
Baleste (famille)   p. 84
Baleste (Amanieu)   p. 115
Baleste (Guilhem)   p. 121
Baleste (Jean)   p. 94 (notaire)
Baleste (autre Jean)   p. 115
Baleste (Michel)   p. 115
Baleste (Pierre)   p. 94, 95
Baleste Tahart (Jean)   p. 22, 112
Ballion (Jean)   p. 126
Bardon (Hector)   p. 120
Barre (Pierre de)   p. 118
Belliart (Mathieu)   p. 102
Belliquet (Barthélemy)   p. 30, 31
Belliquet (Guilhem)   p. 30
Bernard (Pierre)   p. 120
Bernon (Jean)   p. 120
Bonnet (Arnaud)   p. 120
Bonnet (Jean)   p. 95
Bordessoles (Jean)   p. 83
Bordessolles (Jacques)   p. 98, 100, 101, 125, 126  
Bosats (Jean)   p. 36
Bosats (Micheau)   p. 36
Boysson (François)   p. 120
Boysson (N.)   p. 120
Brion (Guillaume)   p. 112
Brun (Hélies)   p. 81
Brun (Hortic)   p. 116
Burie (Charles de)   p. 15
C
Calvin (Jean)   p. 17, 108
Camontès (Arnaud)   p. 125
Campaigne (Guiraud)   p. 125
Capdepuy (Bernard)   p. 121
Carpentey (Guiraulton)   p. 126
Capet (Hugues), roi de France   p. 19
Casaulx (Andrieu)   p. 92, 116
Casaulx (Jean)   p. 91
Casauvieilh (Bernard)   p. 25
Casauvieilh (Étienne)   p. 94
Castaing (Blanquine)   p. 22
Castaing (Estenen)   p. 84
Castaing (Gaillard)   p. 44, 120
Castaing (Guilhem)   p. 83
Castaing (Pierre)   p. 83
Castetja (Alexandre de)   p. 22
Castetja (François de)   p. 5, 22, 118, 119, 129
Castetja (Gaston de)   p. 5, 21, 22, 23, 26, 41, 63, 66, 68, 89, 90
Castetja (Jean de)   p. 22, 24, 90
Castetja (Madeleine de)   p. 24
Caubit (Jean)   p. 98
Caupos (Jehannes)   p. 36
Caupos (Marguerite)   p. 116
Caupos (Peyronne)   p. 26
Caupos (Peys)   p. 36
Charles IX, roi de France   p. 16, 17, 19, 128
Chassaigne (Isabeau de)   p. 115
Choisy (Guillaume)   p. 35
Clavey (Jean)   p. 83, 93, 120
Coligny (Gaspard de)   p. 17, 72
Condé (Henri de Bourbon, prince de)   p. 7, 11, 128
Constantin (Jean)   p. 35
Cravey (Blanquine)   p. 57
Crébasègue (Dominique)   p. 120
Crognon (Pierre)   p. 95, 96
D
Dagès (François d’Agès dit capitaine)   p. 97
Dagoys (N.)   p. 120
Daicard (Arnaud)   p. 81, 82 (Pigon)
Daicard (autre Arnaud)   p. 83, 84, 104, 116 (tieulle)
Daicart (Gaillard)   p. 110
Daicard (Guiton)   p. 41, 43, 44, 45, 46, 120
Daicart (Giron)  p. 27, 94, 108
Daicart (Jean)   p. 93, 94
Daicart (Jeanne)   p. 94
Daicard (Menjotte)   p. 84
Daisson (Arnaud)   p. 81
Daisson (Jacmet)   p. 125
Daisson (Jean)   p. 41, 120
Autre Jean Daisson   p. 121
Daisson (Peisson)   p. 57
Dalfeuilhes (René)   p. 66
Dalnet (Pierre)   p. 121
Damanieu (François)   p. 120
Damanieu (Héliot)   p. 28, 29, 67
Damanieu de La Ruscade (Pierre)   p. 28, 29, 30, 67
Damanieu (autre Pierre)   p. 30
Dambidonnes (Jean)   p. 118, 119
Daney (Arnaud)   p. 32, 108, 127
Daney (Guilhem)   p. 57
Daney (Guirault)   p. 41
Daney (Jean)  p. 22
Daney (Ramonet)   p. 52
Darriet (Jacmine)   p. 34
Daspis (capitaine)   p. 91
Daussy (Peys)   p. 84
Dayan (Jean)   p. 40
Dayan (autre Jean)   p. 40
Dayan (autre Jean)   p. 121
Dayan (Pierre)   p. 40, 41, 43, 44, 121
Daycard (Jean)   p. 43
Daycard (Menjon)   p. 22
Daycard (Pierre)   p. 121
Degert (Amanieu)   p. 120
Dehillotte (Raymond)   p. 84
Desbiey (Jehannes)   p. 23
Desgons (Menjonet puis Dominique)   p. 53
Desprian (Pierre)   p. 11, 26, 46
Deycard (Pierre)   p. 44
Deysseigner (Jeanne)   p. 30
Deysseigner (Marie)   p. 30
Deysseigner (Pierre)   p. 30
Domingou (Peys)   p. 126
Donmestz (Hélies)   p. 25, 26
Dubourdieu (Jean)   p. 83
Dubusquet (Jean)   p. 94, 95, 101, 126
Ducasse (Bernard)   p. 120
Dugua (Bernard)   p. 25, 50
Dulugat (Arnaud)   p. 118, 119
Dumas (Guilhem)   p. 120
Dumay (Bernard)   p. 120
Dumora (Jean)   p. 126
Dumora (Menjon puis Dominique)   
p. 53
Dunoyer (Pierre)   p. 31
Dupin (Guilhem)   p. 127
Duporge (Péronot)   p. 52
Duprat (Héliot)   p. 94
Dupré (Audinet)   p. 120
Dupuch (Berthomieu)   p. 100, 125, 126
Dupuch (Pierre)   p. 93
Dupuch (autre Pierre)   p. 95
Dupuy (Arnaud)   p. 118, 119
Dupuy (Guilhem)   p. 44, 117, 120
Durfort (famille de)   p. 5
Durfort (Jean de)   p. 16, 129
Durfort (Jean-Jacques de)   p. 15
Durfort (Symphorien de)   p. 11, 13, 15, 16, 128
Duvergier (avocat)   p. 96
E – F
Épernon (duc d’)   p. 76, 129
Fabas (Jean de)   p. 99
Filh (Bernard)   p. 115
Flue (Antoine)   p. 120
Foix Candale (Alain de)   p. 17
Foix Candale (Diane de)   p. 92
Foix Candale (famille de) p. 14, 15, 16, 26, 28, 66, 73
Foix Candale (François de)    p. 14, 26, 69, 72, 93
Foix Candale (Frédéric de)   p. 11, 12, 13, 17, 22, 23, 26, 27, 46, 63, 68, 89, 92, 128
Foix Candale (Gaston II de)   p. 17
Foix Candale (Gaston III de)   p. 17, 21, 26
Foix Candale (Henri de)   p. 11, 13, 14, 15, 27, 89, 128
Foix Candale (Jeanne de)   p. 17
Foix Candale (Marguerite de)   p. 76, 129
Foix Randan (Henri François, duc de)   p. 92
Fonteneau (Jean)   p. 33
G
Ganedure (Mathelin)   p. 125, 126
Ganedure (Peys)   p. 126
Garnung (Arnaud)   p. 126
Garnung (Gassiot)   p. 40
Garnung (Jean)   p. 29
Garnung (autre Jean)   p. 125, 126
Garnung (autre Jean)   p. 125, 126
Garnung (Péchot)   p. 125, 126
Garnung (Peychon)   p. 56
Garrot (Guilhem)   p. 125, 126
Garrot (Marc)   p. 37, 120
Gassies (Isabeau de)   p 24
Gendrault (Guillaume)   p. 33
Grailly (Jean de)   p. 27, 28, 66
Griffon (Etienne)   p. 33
Griffon (Jean)   p. 33
Guailhon (Vincent)   p. 34, 35
Guevauroux (Guillaume)   p. 120
Guise (François de Lorraine, duc de)   p. 19
Guise (Henri de Lorraine, duc de)   p. 11, 19, 74, 96, 128, 129
Gurson (Frédéric de Foix, comte de)   p. 92
Gurson (Louis de Foix, comte de)   p. 92
H – I
Henri III, roi de France   p. 11, 19, 20, 74, 76, 96, 129
Hillan (Arnault)   p. 93
Hillan (Jean)   p. 93
Hortaras (Jehacmine)   p. 94
Huguet (capitaine)   p. 95, 96
J – K
Joyeuse (Anne, duc de)   p. 16
Junca (Bertrand)   p. 92, 93, 94, 115
L
Labadan (Pierre)   p. 118
Labarbe (Guilhemotte)   p. 97
Labat (Bernard)   p. 120
Labat (¨Pierre)   p. 120
Labatut (Mathieu)   p. 120
Laborderie (François)   p. 67
Lacoue (Étienne)   p. 120
Lacoue (Jean)   p. 31
Lacroix (Pierre)   p. 53
Lafont (François de)   p. 24, 27, 66, 67, 72, 90
Lafont (Gassiot)   p. 125, 126
Lafont (Jean)   p. 126
Lafont (Péchot)   p. 125
La Forestie (Antoine de)   p. 103
La Fourque (Catherine)   p. 25
Lagebaston (Jacques Benoist de)   p. 12
Lagulhie (Jacques de)   p. 66
Lagreulet (François de)   p. 98
Lajusan (Pierre)   p. 121
Lalande (Estenen)   p. 126
Lalande (Mathieu)   p. 125, 126
Lalande (Péchot)   p. 126
Lanabre (Jacques)   p. 94
Lanche (Jean de)   p. 120
Lançon (Jean)   p. 39, 120
Lanson (capitaine)   p. 98
La Platière-Bourdillon (Imbert de)   
p. 12
Larieu (Jean)   p. 22
La Roche (sieur de)   p. 99
La Rochette (François de)   p. 121
La Rochette (Léonard)   p. 121
Lasserrre (Bertrand)   p. 94
Lauste (Gratienne)   p. 50
Lavergne (Laurent)   p. 120
Laville (Arnaud)   p. 103
Laville (Bernard)   p. 103
Laville (Pierre)   p. 105
Lesburguères (Bertrand)   p. 118, 119
Lestage (Arnault)   p. 92
Lomvie (Jeanne)   p. 127
Lorraine (cardinal de)   p. 19
Lorraine (Maison de)   p. 19
Lucat (Jean)   p. 92
Lur d’Uza (Louis de)   p. 14
M
Madiau (Richard)   p. 98
Mano (Jeanne)   p. 116
Mansenqual (Peys)   p. 126
Mansiet (capitaine)   p. 91
Martin (Jean)   p. 125
Matignon (Jacques de Goyon, sire de)   p. 74, 75, 76, 93, 99, 100, 101, 105, 129
Mauran (Jean)   p. 91
Mayenne (Charles de Lorraine, duc de)   p. 9, 11, 18, 19, 20, 27, 32, 67, 69, 71, 74, 76, 99, 104, 106, 128
Médicis (Catherine de) reine de France  p. 12, 19
Mesteyrau (Catherine)   p. 25, 50
Mesteyrau (Guiraud)   p. 26, 67, 72
Mesteyrau (autre Guiraud)   p. 27, 94, 108
Mesteyrau (Jacmine)   p. 116, 117
Mesteyrau (Jeanne)   p. 104
Mesteyrau (Martin)   p. 104
Mesteyrau (Peys)   p. 94
Mesteyrau (Raymond)   p. 27, 67, 94
Mesteyrau (Ysane)   p. 22
Metge (Pierre)   p. 127
Monluc (Blaise de Lasseran-Massencôme, seigneur de)  p. 13, 15, 16, 111, 128
Montmorency (Anne de)   p. 14
Montmorency-Damville (Henri de)   p. 14
Montpensier (Catherine de Lorraine, duchesse de)    p. 19
Montpezat (Antoine des Prez, seigneur de)   p. 18
Montpezat (Melchior des Prez, seigneur de) p. 18, 128
More (Pierre de)   p. 120
Mosnier (Jeannot)   p. 67
N – O
Navarre (Henri de), roi de Navarre puis roi de France  p. 11, 16, 17, 19, 20, 29, 32, 72, 74, 76, 88, 91, 93, 96, 106, 111, 129
Naulet (Pierre)   p. 121
P – Q
Pagès (Bernard)   p. 56, 57
Palu (Guirault)   p. 120
Pénicault (Pierre)   p. 37
Peyjehan (Guilhem)   p. 107, 121, 127
Peyjehan (Jean)   p. 120
Peyre (Jean)   p. 127
Pie V (pape)   p. 128
Plébie (Jean)   p. 120
Podio (Antoine de)   p. 84
Podio (Bertrand de)   p. 84
Pomps (Jean)   p. 37, 41, 44, 121
Pomps (Jeanne)   p. 52
Pons (Jean de)   p. 120
Pontac (Arnaud de)   p. 14, 15, 64
Pontac (famille de)   p. 64
Pontac (Jean de)   p. 14, 15, 128, 129
Pontac (Raymond de)   p. 115
Portié (Guiraud)   p. 107, 108, 127
Portié (Vincent)   p. 83, 127
Pradié (Bernard)   p. 110
Prévost de Sansac (Antoine)   p. 14, 39, 42
R
Raffin (Gaston)   p. 97
Reynault (Guiraud)   p. 120
Reynaut (Pierre)   p. 32
Rivière (Jean)   p. 120
Roquépine (Olivier du Bouzet, seigneur de)   p. 99, 100, 101, 105, 125, 126
Rouillet (Pierre)   p. 91
Rullier (Étienne)   p. 35
S
Saint Maquaire  (protestant)   p. 95
Salignac (capitaine)   p. 97
Sans (Peys)   p. 126
Savoie (famille de)   p. 28, 66
Savoie (François II, duc de)   p. 17
Savoie (Honorat de)   p. 17, 18, 30, 31, 71, 72, 73, 75, 128
Savoie (René, grand bâtard de)   p. 17
Savoie-Villars (Henriette de)   p. 11, 18, 19, 29, 32, 67, 71, 76, 104, 128
Séguiran (Jeanne)   p. 31
Sommart (Raymond)   p. 120
T – U
Taffard (Bertrand)   p. 33
Taffard (Peys)   p. 127
Taris (Guillaume)   p. 94
Taris (Jean)   p. 43
Taris (Mengon)   p. 91
Tarneau (Gabriel de)   p. 118
Térence (Guilhem)   p. 23
Texier (Pierre)   p. 40
Trestos (Berthomine)   p. 52
Turenne (vicomte de)   p. 16
V … Z
Vacquey (Gaston de)   p. 24
Vacquey (Joseph de) dit Capitaine Latour   p. 24
Valois (Marguerite de), reine de Navarre   p. 16
Vidal (Arnaud)   p. 116,
Vidal (autre Arnaud)   p. 121
Vidard (André)   p. 121
Vidard (Jean)   p. 102
Vienne (Jean)   p. 33
Vignolle (Pierre)   p. 44, 46, 120
Villeneufve (Étienne)   p. 67
Villeneufve (Jean)   p. 37, 42, 43, 121
Villetorte (Pierre)   p. 28, 67, 69, 70
Viney (Guilhem)   p. 126
Viney (Jean)   p. 95

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