Foire Aux Questions

Question:

Je recherche des informations sur l’histoire des bisquines construites dans la région de Bayonne. Période recherchée 19 et 20ème siècle.

Réponse de la SHAAPB, Noël Gruet:

M. Lebranchu‌ devrait s’adresser aux organisme locaux, par exemple à Bayonne au Musée Basque, à Saint-Jean-de-Luz à l’Association Itsas Begia. Le Musée basque publiait il y a quelques années un bulletin, peut-être trouverait-il des infos dans ce bulletin. Personnellement, j’ai trouvé des informations concernant quelques bisquines dans les archives du quartier de l’inscription maritime de Bayonne et de Saint-Jean-de-Luz, dans les matricules des bâtiments. Le terme bisquine y est manifestement employé comme synonyme de chasse-marée ou lougre. Les matricules du quartier de Bayonne et Saint-Jean-de-Luz sont conservés à Rochefort (Charente Maritime) par le Service Historique de la Défense.

Question:

Dans le  bulletin n° 200, j’ai remarqué une regrettable erreur en légende de la photo page.105 : il ne s’agit pas d’une vieille mais d’une daurade royale.

Réponse de la SHAAPB, JM Blondy :

Effectivement, vous avez raison :  la photo aurait dû être mieux choisie, mais il s’agit du même poisson dont seules les peaux diffèrent en fonction de l’âge et du sexe des individus. Merci pour votre grande vigilance dans la lecture de nos bulletins.

Question:

En lisant le bulletin n° 200, en bas de la page 76, en 2, il est écrit Louis XI roi de France Capétien…, je pense qu’il y a une faute de frappe : le roi dit Saint Louis est Louis IX : inversion avec le X et le I.

Pour les fameuses coquilles St Jacques ornant le blason, elles n’étaient pas réservées à ceux qui allaient en Galice sur la tombe de Saint Jacques, mais à tous les pèlerins : Rome, Jérusalem, croisades comprises et ainsi, les ancêtres de notre Captal de Buch ayant été en croisades à Jérusalem arboraient ces coquilles sur leur blason.

Réponse de la SHAAPB:

Effectivement, dans l’article de R. Martin, il y a une inversion entre le X et le I.

Les précisions fournies sur les coquilles St Jacques ornant le blason pourront servir à l’écriture de futurs articles.

Un de nos lecteurs avertis nous signale qu’un de nos articles paru dans le Bulletin n°192 (mai 2022, p. 96) comporte deux inexactitudes auxquelles il est utile de remédier pour être en conformité avec la réalité des états-civils tels que rapportés dans le compte-rendu de l’arrêt de la Cour d’Assises de la Gironde du 13 avril 1924. Le nom du prévenu est MINAUT Laurent (et non Minot) e le prénom de la jeune fille est DENISE (et non celui de Geneviève). Le titre de l’encadré évoque un viol dont il n’est pas fait état dans l’arrêt qui accuse le prévenu de crime d’enlèvement de mineure, mais prend en compte le fait qu’elle avait 16 ans et donné son consentement puis suivi volontairement son ravisseur.

Bernard LIBAT


Question
:

Comment procède-t-on pour ouvrir un compte sur le site internet de l’association ?

Réponse de la SHAAPB :

Il existe un compte avec l’adresse email sur le site de la SHAAPB. Il suffit d’aller dans la rubrique « mon compte » » puis « s’enregistrer ». 

Éric JOLY


Question
:

Auriez-vous écrit quelque chose et avez-vous des photos sur l’expédition Citroën et l’escalade de la grande dune ?

Réponse de la SHAAPB :

2 articles ont été publiés dans nos bulletins traitant des véhicules Citroën sur la dune. Il s’agit :

  • bulletin no 142 : Les autochenilles d’André Citroën à l’assaut des dunes d’Arcachon (page 61 à 69)
  • bulletin no 190 : Anniversaire : Il y a 100 ans, Citroën étonnait Arcachon (page 106 à 108)

Philippe MARSAN


Question
:

Sur le site internet de la SHAAPB, on voit une jolie photo de la gare de Arès à ses débuts. Entre Facture et Arès, la voie ferrée est devenue la piste cyclable Roger Lapébie. Toutefois, ont été récupérés quelques centaines de mètres de rail sur lesquels ont été placées des anciennes voitures de voyageurs de trains. Cela rappelle ce passé glorieux du chemin de fer. Est-ce réalisable ici ? Je ne sais pas ? À réfléchir peut être.

Réponse de Jean Marie BLONDY, coprésident arésien de la SHAAPB : 

À Arès, nous avons déjà une soucoupe volante, et notre maire va plutôt de l’avant ! Mais je lui en glisserai un mot à l’occasion, car des travaux doivent être entrepris bientôt pour transformer la Gare en point vélo avec buvette au bord de la Vélodyssée…

Bernard CHAUVEAU


Question
:

J’habite la résidence Cœur Moulleau avenue Saint Dominique à Arcachon ,construite en lieu et place de la maison de retraite Saint Antoine de Padoue (édifiée en 1898). Ne subsiste de l’édifice initial que la façade principale et son clocheton, pourriez-vous me dire ce que signifient les lettres JMJ gravées à cet endroit ?

Réponse de la SHAAPB : 

JIC signifie Jeunesse Indépendante Chrétienne. Le père Yves Moreau a lancé et développé les mouvements d’Action catholique : la Jeunesse Indépendante Chrétienne (J.I.C.) et la Jeunesse Étudiante Chrétienne (J.E.C.). Pour avoir plus d’information, il vous faut lire l’article intitulé  » Histoire de la statue de Notre Dame de Lourdes dans un lotissement testerin » écrit par Jacques Passicousset dans notre bulletin 190.

Michel ROUAUD


Question
: Yawl aurique « Lys Noir » construit en 1914 par le chantier Barrière à Arcachon

Sur le site internet de la SHAAPB, on voit une jolie photo de la gare de Arès à ses débuts. Entre Facture et Arès, la voie ferrée est devenue la piste cyclable Roger Lapébie. Toutefois, ont été récupérés quelques centaines de mètres de rail sur lesquels ont été placées des anciennes voitures de voyageurs de trains. Cela rappelle ce passé glorieux du chemin de fer. Est-ce réalisable ici ? Je ne sais pas ? À réfléchir peut être.

Réponse de Noël Gruet, expert Marine pour la SHAAPB : 

Il n’existe pas, à ma connaissance, de plans de formes originaux du chantier Barrière concernant le yacht LYS NOIR ex Océanic.  Les archives anciennes du chantier Barrière ont disparu à l’exception d’une cinquantaine de plans que j’ai sauvés in extremis de la destruction avant la démolition du chantier avec  quelques registres. Aucun de ces plans ne concerne Lys Noir. Pour obtenir les plans des formes de ce bateau la solution est d’en faire un relevé sur la coque elle-même. Quant à la parenté des formes entre un dogre du XIXe et un yacht du début du XXe, je laisse M. Rouaud seul juge de la chose !



Lautier Martine


Question
:

je souhaiterais savoir si le blockhaus de la Hume se visite ? Si oui où puis-je m’adresser ?



Réponse
:

Nous avons interrogé Marc Mentel, Président du GRAMASA et voici la réponse qu’il nous a envoyée.

Le blockhaus-musée de la Hume est ouvert tous les premiers samedis des mois d’octobre à juin de 14h à 16h.
L’entrée est libre et gratuite. Des membres du GRAMASA restent sur place durant l’ouverture et peuvent répondre aux questions éventuelles du public.
En juillet et en août des visites guidées payantes sont organisées par le GRAMASA en partenariat avec l’office de tourisme tous les mercredis.
En septembre la casemate est ouverte pendant le week-end des JEP.

M. Michel Rouaud


Question
:

Comme emblème du Pays Vannetais (venant s’ajouter aux sinagots, plus petits) nous avons retenu le dogre, caboteur d’inspiration nordique, dont plusieurs exemplaires ont été construits à Vannes à la fin du XVIIIe siècle. Peut-on en trouver également la trace dans l’Histoire des chantiers navals d’Arcachon ?

 

Réponse de Noël Gruet, expert Marine pour la SHAAPB :

Il n’y a à ma connaissance aucune trace de dogre construits sous cette appellation sur le bassin au XVIIIe siècle. J’ai dressé une liste des bâtiments du port de La Teste de 1712 à 1822 d’après les registres des matricules des bâtiments conservés aux Archives de la marine à Rochefort sur mer.  Nous y trouvons des barques, bricks et brigantins, des lougres ou chasse-marée, goélettes et des chaloupes mais pas de « dogre ».

Le dogre fut appelé ainsi par assimilation à des bateaux de pêche du nord qui pour pêcher le hareng fréquentaient habituellement le « dogger bank » .  Ces bateaux étaient gréés d’un grand mât situé quasiment au milieu portant voiles carrées. Le dogre figure dans l’ouvrage de Guéroult du Pas publié en 1710 dans son Recueil de vues de tous les différents bâtiments de la Méditerranée et de l’Océan. Le joli dessin « dogre vent arrière » est de OZANNE mais n’est pas représentatif du type, connu pour aussi représenter un sloop, une barque. Le service historique de la défense (marine) à Lorient doit avoir le Guéroult du Pas dans sa bibliothèque. Dogre représenté dans les Bateaux des Côtes de France de François Baudouin mais le texte est peu clair : un bateau à un seul phare carré avec des focs et un artimon à voile axiale équilibrant les focs est une hourque, un dogre ou un quaiche. » ! Si des dogres ont été construits à Vannes c’est dans les archives du quartier de Vannes ou celles de l’amirauté qu’il conviendrait d’orienter les recherches.

M. Blanleuil
Question:

Est-ce qu’il y a des articles parus dans vos bulletins dans lesquels le sanatorium Les Elfes est cité ?

Réponse SHAAPB :
dans les bulletins 91, 119 , 140 et 192 vous trouverez une mention de cette clinique.

Bulletin 91 – article de C. AMANIEU, P. CAPDEVILLE, B. QUESSARD et C. SAUUSET sous la conduite de leur professeur M. RIEHL, sur Le traitement préventif et curatif de la tuberculose pulmonaire à Arcachon entre 1850 et 1940, page 27, extrait :

Bulletin 119 – article de R. FLEURY sur Les séjours des HEREDIA à Arcachon (1911-1949), page 31, extrait :

Bulletin 140 – article de M. BOYÉ sur L‘hôpital d’Arcachon (1951-1978), page 69, extrait :

Bulletin 192 – article de B. DUTEIN sur La villa Lakmé, l’arlésienne de la VH d’Arcachon, page 37, extrait :

Question (du 15/07/2023) de Mme Anne Valleau, chargée d’études documentaires, mission de récolement au Centre national des arts plastiques :

Je procède, depuis le mois de mai 2023 au récolement à distance de dépôts en Gironde, tout au long des XIXème et XXème siècles, de certaines œuvres non localisées malgré les recherches menées auprès des municipalités.

Ainsi, une œuvre de Claude Bouscau intitulée Notre-Dame de la Paix est recherchée à Andernos-les-Bains et 2 tableaux de Jules Richomme ont été déposés à Arcachon : deux huiles sur toile intitulées Le Viatique (déposée dans la Chapelle Saint Ferdinand en 1859) et Le Christ disant : Laissez venir à moi les petits enfants (déposée dans la « Chapelle d’Arcachon » en 1857).

Je vous remercie pour l’aide que vous pourrez m’apporter

Réponse SHAAPB :
Suite à votre mail de juillet dernier, nous avons fait des recherches et interrogé les personnes expertes en œuvre d’art. Malheureusement, nous n’avons, à ce jour, reçu aucune réponse positive, susceptible de vous aider dans vos recherches.

Nous n’abandonnons pas et poursuivons nos investigations.


Philippe Bernard Lafaurie


Question:

Avez-vous des articles qui traitent sur la Poste?




Réponse:

Vous avez demandé les articles traitant de LA POSTE. J’en ai trouvé deux :

  • bulletin no 11 sur la poste au Porge avant 1800 (pages 8 et 9) ;
  • bulletin no 82 sur la poste d’Arcachon et de La Teste à la fin du XIXe siècle (pages 52 à 59) ;
  • d’autre part Bernard Dutein  a écrit un article intitulé : Histoire du téléphone à Arcachon mais son article n’a pas encore été publié. Si vous avez des questions à lui poser, merci de nous les envoyer et nous lui transmettrons.
  • nota : les 2 bulletins sont numérisés et donc disponibles sur le site de la SHAAPB.

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