Grand-Hôtel d’Arcachon
Chronique 1910
Avenir d’Arcachon N° 2986 du 27 février 1910
Grand-Hôtel – Ces jours-ci nous nous sommes rencontrés avec M. Yves Blanchy, M. Drouyn, architecte, etc., à visiter les rapides travaux du Grand-Hôtel.
Aussitôt qu’on a gravi le perron d’entrée et traversé le hall, on admire l’escalier de pierre qui se construit, avec sa rampe en fer forgé, ses six paliers, dans une cage de 6 mètres carrés, 18 mètres de haut, avec au centre l’ascenseur.
Voici à gauche le grand salon-hall, à double plafond lumineux, décoration de staff, avec baies intérieures en plein cintre.
Le hall sur la plage ayant à gauche salon des dames, salon des messieurs ; à droite salon-restaurant ; on travaille aux décorations des plafonds.
Sur la mer, la grande salle de restaurant, en amphithéâtre, avec ses onze baies, et un avant-corps à pans coupés, face au bassin.
Du grand restaurant, nous passons, à l’est, dans la salle des fêtes, vitrée du côté du jardin, plafond en anse de panier.
Nous admirons les dégagements de toutes ces pièces du rez-de-chaussée et l’escalier de service des sous-sols dont nous avons déjà parlé.
Aujourd’hui nous ne voulons pas monter aux étages ; nous y reviendrons . Ce qu’il importait de constater, c’est l’avancement des travaux, l’harmonieuse disposition des loggias entre colonnes qui monumentalisent l’édifice, et ornementant l’attique du faîte, quatre frontons très importants, en ciment armé, au chiffre G. H., deux du côté de la mer, deux du côté du boulevard.
On établit les conduites d’eau, d’électricité ; on organise le chauffage central ; on pose enfin les portes des trois étages. Et il y a en tout 1 200 portes.
Nous recauserons de tout cela.
Avenir d’Arcachon N° 2988 du 12 mars 1910
Grand-Hôtel – Les travaux sont toujours poussés avec une louable activité. On finit les ravalements, les bitumistes pour les sols sont à l’œuvre, les parquets du hall et de plusieurs pièces sont posés, de même pour les plafonds les staffs sont arrivés, on travaille au revêtement des colonnes du restaurant ; au-dessus de ce restaurant on va poser les grilles en pourtour de la galerie qui le domine et d’où l’on jouira de l’air et de la vue de la mer ; les façades extérieures sont passées à la céruse ; à la fin du mois les déblais de la cour seront enlevés par bateaux ; on fore à l’ouest un puits artésien qui a déjà 70 mètres et atteindra peut-être 100 mètres de profondeur. Qu’est cela, quand on songe qu’à Clermont on est allé jusqu’à 1.200 mètres, peut-être le maximum des profondeurs explorées par la mèche du perforateur.
Chose à noter : ces divers et multiples travaux ont été conduits avec une telle prudence, qu’aucun accident ne s’est produit.
Du train où vont les choses, l’inauguration officielle se fera à la date fixée.
Avenir d’Arcachon N° 2997 du 8 mai 1910
Accident mortel – Mercredi matin, vers 9 heures, un accident mortel s’est produit sur les chantiers du Grand-Hôtel, en reconstruction boulevard de la Plage.
Le sieur Dominique Labedade, manœuvre, âgé de soixante-treize ans, domicilié cité Saubadine, avait été chargé de balayer les appartements du premier étage où se trouvaient des débris de matériaux.
Ayant pénétré dans une pièce contenant une assez grande ouverture destinée à recevoir le monte-plats mettant en communication la cuisine avec les divers étages de l’hôtel, Labedade, qui n’avait pas aperçu l’ouverture, mit les pieds dans le vide et tomba d’une hauteur de seize mètres.
Relevé par plusieurs ouvriers, il fut transporté à la pharmacie Laurent, rue du Casino, où il reçut les premiers soins, puis à son domicile, cité Saubadine, où il succomba à 11 heures du matin.
Ses obsèques ont eu lieu vendredi matin, au milieu d’une grande affluence.
Grand-Hôtel – Le jour de l’Ascension, fête des maçons, et à l’occasion de la reconstruction très avancée du Grand-Hôtel, un dîner a été offert par M. Léon Lesca et servi à 6 heures du soir au restaurant Lapachet. Il était présidé par MM. Busquet, Maugon et Audoir. Actuellement M. Blavy est dans sa propriété de la Creuse. On comptait 90 convives environ. Il avait été décidé qu’en raison de l’accident de la veille, il n’y aurait ni discours, ni chants. Pour le même motif, le lendemain vendredi, le chantier est resté fermé en signe de deuil. Inutile d’ajouter que le restaurant Lapachet, fidèle à ses bonnes traditions, a servi ce nombreux repas à la satisfaction générale.
Avenir d’Arcachon N° 3002 du 12/6/1910
Grand-Hôtel – Dimanche soir, 5 juin, est arrivé M. Paschler qui sera le directeur du Grand-Hôtel d’Arcachon, comme il est déjà directeur d’un des plus beaux hôtels de Monaco qui s’appelle « l’Ermitage » ; il est venu prendre connaissance de l’installation et des dispositions pour l’ameublement.
On peut maintenant parcourir l’édifice du haut en bas avec toutes facilités.
Quand on a gravi le perron du rez-de-chaussée, du hall qui ouvre sur l’escalier d’honneur, on se rend dans le grand salon, pièce de 160 mètres carrés, 8 mètres sur 20, style Empire ; de là, dans la salle des fêtes, 160 mètres carrés, style Louis XVI, cette salle qui servira aussi pour les banquets, est pourvue d’un vestiaire très commode ; elle communique avec l’escalier de service qui descend aux cuisines, et de plain-pied avec la salle de restaurant 250 mètres carrés, style Louis XVI très pur, vue sur la mer.
En parcourant ces trois pièces magistrales, on observe que le jour, l’air et la lumière entrent partout à pleines baies, et cet éblouissement d’éclairage diurne ne sera pas un des moindres charmes, car il existe aussi bien en bas qu’au troisième étage, dans les escaliers et vestibules, comme dans les chambres et salons, partout c’est la note gaie du soleil et de l’air pur, cachets du climat arcachonnais.
Ce rez-de-chaussée comprend encore du côté nord : un salon particulier du restaurant, un fumoir, un salon des dames ; au midi et à l’ouest : quatre appartements princiers avec chambres, salon, cabinet-lavabo ; douze chambres avec cabinets baignoires.
Du grand salon on passe par un hall conduisant à la terrasse qui donne sur la mer, et servi par une porte revolver, qui a coûté 3.000 fr., et qui est un bijou de menuiserie.
Montons au premier étage, nous admirerons, au-dessus du restaurant, une terrasse de 150 mètres carrés, dominant le panorama du bassin d’Arcachon.
Le deuxième et le troisième étages sont intéressants par les grand nombre de leurs chambres, tout prêtes et tapissées ; celles du haut pourvues de très élégantes loggias qui s’ouvrent au nord comme au midi.
Pour les salons et salles à manger est disposé, dans l’épaisseur des murs, le chauffage à ailettes ; dans les chambres, est installé le chauffage à radiateurs.
Cette question du chauffage nous amène tout naturellement à aller visiter les sous-sols où sont campées trois énormes chaudières pour alimenter le chauffage central, et qui assoient leurs larges bases dans la cave au-dessous du sous-sol.
Sous la terrasse nord, côté du bassin, se groupent quarante cabines de bain, et piscine pour douches. A l’ouest : un bar de 160 mètres carrés, ouvrant par trois portes et de plain-pied, sur la rue du Casino et sur la place du Grand-Hôtel ; à côté, salle du transformateur électrique.
Sous le restaurant sont établies les cuisines avec leurs fourneaux et dépendances : pâtisserie et four spécial, vaissellerie, argenterie, légumerie, chambre froide, cellier, cave à vins.
Au nord-ouest, salle à manger des courriers.
Sous le grand salon, salle à manger du personnel, caves pour bois et charbons.
Au sud-est : lingerie, armatures et cage de l’ascenseur.
A l’extérieur du Grand-Hôtel, il est utile de noter, du côté est, la grande cour sous la salle des fêtes, c’est là qu’on accède à l’économat, aux cuisines et aux divers services. C’est là qu’a été creusé le puits artésien, dont nous avons parlé aussi dans de précédents articles, et qui, à 134 mètres de profondeur, a fourni de l’eau jaillissante. Cette eau est portée, par des conduites, à des bassins situés au-dessus du troisième étage, pour se répartir ensuite dans toutes les pièces et appartements, aux robinets d’eau chaude et froide.
Dans l’ensemble, on voit que le Grand-Hôtel est un monument fort important, et surtout disposé suivant les règles pratiques du confortable le plus moderne.
Nous avions annoncé qu’il serait prêt pour la saison d’été. Il sera très vraisemblablement inauguré dans la deuxième quinzaine de juillet.
Avenir d’Arcachon N° 3006 du 10/7/1910
Grand-Hôtel – L’aménagement du Grand-Hôtel se poursuit très activement. On annonce qu’il sera prêt pour le 16 juillet. Comme nous l’avons dit, il mettra 120 chambres à la disposition de sa haute clientèle. Les jardins se dessinent. Dès le commencement de la saison, le Grand-Hôtel, comme il avait été promis, rehaussera puissamment l’éclat de la station estivale et balnéaire.
À l’intérieur, le Grand Restaurant Louis XVI, en amphithéâtre sur la mer, est de toute beauté, le Restaurant particulier avec ses tentures saumon à dessins laurés est clair d’une étincelante gaieté. La salle des fêtes aux tentures vert d’eau, avec son plafond en anse de panier, est d’une tonlité sobre et riche tout ensemble. Dans les cuisines, les fourneaux, les fours à grillades (Berthon Lyon), sont en place et en activité ; les offices aménagés. A tous les étages, les meubles se classent avec une activité prodigieuse.
À l’extérieur, les corbeilles de fleurs s’épanouissent, les allées sont gravées, les pelouses poussent à vue d’œil.
C’est un tour de force de MM. les Entrepreneurs d’avoir tout aménagé à heure dite.
Avenir d’Arcachon N° 3007 du 17/7/1910
Grand-Hôtel – Le Conseil d’administration de la Société locataire du Grand-Hôtel a envoyé environ trois mille invitations pour l’inauguration de ce bel établissement le samedi 16 juillet à 5 heures du soir.
Avenir d’Arcachon N° 3008 du 24/7/1910
Grand-Hôtel – Samedi 16 juillet a eu lieu l’inauguration du Grand-Hôtel d’Arcachon. De 5 à 7 heures du soit, les équipages et automobiles amenaient plus de deux mille personnes qui étaient gracieusement reçues par les directeurs : M. et Mme Pachler, et se répandaient dans le hall et les salons.
On admire l’entrée avec sa spacieuse marquise à visière, l’escalier monumental contenant son ascenseur. Dans le grand hall vitré, les dames aux élégantes toilettes ne peuvent résister au plaisir de s’asseoir dans des sièges somptueux et confortables. Les dames aiment à se reposer avant de partir pour tout visiter ensuite.
Devant les larges fauteuils, de petites tables Empire sont chargées de fleurs. Cette décoration florale est l’œuvre de M. Capdepuy, l’artiste horticulteur de l’allée Charles Rhoné, dans la ville d’hiver.
La foule des invités se répand suivant ses aspirations et ses goûts. Les uns vont visiter les restaurants dont nous avons raconté l’ampleur et que nous avons décrits.
D’autres montent aux étages et considèrent le coquet ameublement des chambres, style moderne, luxe et confort, toilettes perfectionnées comme en Angleterre ; et du côté de la mer comme du côté de la vielle, de son clocher, de ses villas, noyés dans les frondaisons vertes, vue féerique comme en Italie.
Il est une certaine chambre à l’ouest, au troisième étage, dont la loggia ouvre les yeux éblouis de ses fenêtres sur un paysage qui semble un idéal et perpétuel décor théâtral, si captivant qu’il passionnerait des rêves amoureux, inspirerait des aquarellistes et des peintres.
Avenir d’Arcachon N° 3010 du 7/8/1910
Grand-Hôtel – Chambres de 6 à 15 fr. ; salons 20 fr. ; déjeuner 5 fr. ; dîner 7 fr. ; five o’clock tea avec pâtisseries 1 fr. 50 ; orchestre d’après-midi ; ascenseur, éclairage électrique ; bains de mer dans l’hôtel ; coiffeur attaché à la maison ; américain-bar.
Avenir d’Arcachon N° 3011 du 14/8/1910
Grand-Hôtel – Familles Jean Côte, Rébé, Ihorphe Thomas (Angleterre), Mme de Goloubeff (Russie), familles Wattine, Jullien, Mlles Martin et Laurent.
Avenir d’Arcachon N° 3016 du 18/9/1910
Le Grand-Hôtel – Reconstruit et ouvert au public depuis juillet dernier seulement, sous la direction de M. et Mme Paschler, de Monte-Carlo, le Grand-Hôtel d’Arcachon, un des plus luxueux et des plus confortables du Sud-Ouest, a inauguré par la visite de S. A. R. l’Infante Eulalie, la liste des étrangers de distinction, déjà nombreux, et qui va s’accroître rapidement, dès qu’on saura que notre ville, qui pendant deux ans avait été privée d’un Grand-Hôtel, possède un établissement de 1er ordre, pour la haute et grande clientèle, l’aristocratique colonie française et exotique, le grand public de la diplomatie, de la politique, de la finance, des arts et des lettres.
Nous avons plaisir à citer le livret que vient d’éditer le Grand-Hôtel, tant les caractéristiques arcachonnaises y sont intelligemment présentées :
« Ou passer les mois de septembre et octobre ?
« Arcachon a été nommé à juste titre : l’Éden des sportsmen. les Chasses à courre (renards, chevreuils, sangliers, lièvres), le Golf, le Tir aux Pigeons, le Concours hippique, les Régates, ses deux casinos, en font une ville mondaine ; mais le vrai charme d’Arcachon réside dans son Bassin unique en France (75 kilomètres de circonférence), et dans sa Forêt qui va jusqu’aux rives de l’Adour (150 kilomètres).
« Le Yachting à voile ou en automobile s’y pratique d’un bout de l’année à l’autre, et les nombreux villages que l’on peut visiter ainsi, sont d’un pittoresque colonial.
Avenir d’Arcachon N° 3021 du 23/10/1910
La saison – La saison d’été a été pluvieuse et pourtant l’affluence des visiteurs ne nous a pas fait défaut. Comme distractions, il leur a été offert le record Bordeaux-Arcachon à vol d’oiseau par l’aviateur Morane. Nous ne parlerons pas des fêtes vénitiennes organisées par la municipalité et qui font régulièrement fiasco. Les mille lanternes en girandoles disposées sur les jetées par M. le Maire et les autorités constituées, sont jetées à terre par le vent et fournissent aux « trains de plaisir » l’occasion de ramasser un millier de bougies qu’ils mettent consciencieusement dans leurs poches ; c’est ce qu’on peut appeler des économies de bouts de chandelle. Mais les éclairage sur l’eau, la musique, font défaut. Ces fêtes vénitiennes ont vécu, et nous engageons la municipalité à abandonner les sports nautique et autres, auxquels du reste elle n’entend rien ; son rôle doit se borner à subventionner, quand il est utile, de plus experts qu’elle.
Les régales de la Société La Voile ont eu leur succès habituel ; mais elles sont plus particulièrement intéressantes pour les yachtmen eux-mêmes. Nous avons d’autre part constaté l’absence, cette année, de ces grands et beaux yachts étrangers, comme ceux de MM. de Rothschild, Gordon-Bennet, Gaston Menier, qui honoraient autrefois notre rade de leur visite. Nous ne savon à quoi attribuer cette défection. Espérons que les beaux steam-boat reviendront l’an prochain dans notre lac qui leur offre un ancrage si sûr, et une région d’excursions marines si pittoresques.
La saison d’automne a été si chaude et si ensoleillée, qu’il est désespérant de voir partir nos touristes, au moment où ils pourraient le mieux bénéficier d’un idéal climat. Mais les vacances sont terminées pour les lycéens, comme pour les magistrats ; les viticulteurs vont vendanger ; les citadins ont hâte de retourner en ville à leurs affaires.
La saison d’hiver va s’ouvrir. On annonce un grand nombre de locations en villas.
D’autre part nos hôtels ne peuvent que bénéficier des distractions que le Casino offrira cet hiver, en organisant des concerts et des séances amusantes de music-hall. Le fait que le Grand-Hôtel est reconstruit et très intelligemment dirigé à M. et Mme Paschler, fait augurer que la clientèle de luxe reprendra comme jadis le chemin de notre station. Combien d’étrangers de marque en effet, avant d’effectuer leur déplacement, posent cette question sur la station dont ils font choix : « Y a-t-il un Grand-Hôtel ? » Depuis quelques années la réponse était négative. Aujourd’hui l’accident est réparé. Nul doute que bientôt ne revienne cette riche clientèle, qui est d’un si précieux appoint pour nos commerçants du boulevard et des grandes artères. Nous apprenons du reste avec plaisir que le Grand-Hôtel restera ouvert toute l’année. Nous croyons en effet que cet établissement et le Golf sont des principaux éléments d’attirance pour les étrangers. Quelques efforts de publicité, et notre station, qui bénéficie de deux saisons : estivale et hivernale, ne manquerait pas de prendre le premier rang parmi les villes climatiques, car elle joint à la douceur de la température, le bénéfice d’un double climat : marin et forestier.
Avenir d’Arcachon N° 3025 du 20/11/1910
Grand-Hôtel – MM. Bryce, Cahen, Coste (Madrid), d’Adhémar-Netter, Pynch-Vaës (Madrid), Velghe-Chapon, Enrique, Bosc, Malmenayde, MM. et Mmes de Manthé-Fauché, Mmes Corvin (Roumanie), Posno-Bosio (Londres), Navirot, Sonla, Boronat (Madrid), Moullinau, Bataille, Vivanco Carmen (St-Sébastien).
Avenir d’Arcachon N° 3026 du 27/11/1910
Grand-Hôtel – MM. Bryce, Cahen, Coste (Madrid), d’Adhémar-Netter, Pynch-Vaës (Madrid), Velghe-Chapon, Enrique, Bosc, Malmenayde, MM. et Mmes de Manthé-Fauché, Mmes Corvin (Roumanie), Posno-Bosio (Londres), Navirot, Sonla, Boronat (Madrid), Moullinau, Bataille, Vivanco Carmen (St-Sébastien).
Avenir d’Arcachon N° 3027 du 4/12/1910
Grand-Hôtel – MM. Bryce, Cahen, Coste (Madrid), d’Adhémar-Netter, Pynch-Vaës (Madrid), Velghe-Chapon, Enrique, Bosc, Malmenayde, MM. et Mmes de Manthé-Fauché, Mmes Corvin (Roumanie), Posno-Bosio (Londres), Navirot, Sonla, Boronat (Madrid), Moullinau, Bataille, Vivanco Carmen (St-Sébastien).
Avenir d’Arcachon N° 3029 du 18/12/1910
Grand-Hôtel – Mrs Finaly, comtesse Agnel de Bourbon, Mme Dussolier, M. Mme Mlles Chauveau, Mme Le Pin, colonel Crotel, marquis de la Touche, famille de Lamothe, M. Radas, M. de la Preugne, M. Le Quellec, M. Massart, M. Lagarde.
Avenir d’Arcachon N° 3030 du 25/12/1910
Grand-Hôtel – Mrs Finaly, comtesse Agnel de Bourbon, Mme Dussolier, M. Mme Mlles Chauveau, Mme Le Pin, colonel Crotel, marquis de la Touche, famille de Lamothe, M. Radas, M. de la Preugne, M. Le Quellec, M. Massart, M. Lagarde.